Jeunesse égarée

Cette fic c'est un peu mon coup de gueule perso, et aussi mon coup de coeur. J'espère qu'elle vous plaira...

Chapitre 1

Encore un concert, le dernier de notre tournée. Du fond de la scène je pouvais voir ce qui n'allait pas. Avec le temps j'avais apprit à reconnaitre tous ces petits détails. Bill se forçait à s'amuser, si je puis dire, ses pas de danses sonnaient faux, et je ne pouvais pas voir son visage mais je savais que son sourire était crispé. Georg cachait son visage avec ses cheveux et se donnait moins à fond que d'habitude. Seul Tom était normal, il continuait d'ameuter les groupies qui lui répondaient par leurs habituels cris stridents. L'horreur quoi.

- DANKE SCHON!!!

Et on quitta la scène, Bill en premier, moi toujours au fond. On arriva bien vite vers les loges. Tom partit de son côté, il avait fait signe à une fille, et elle l'attendait dans sa loge. Je rejoignais Georg.

- Encore une fois il a fallut faire semblant, me dit-il
- Je sais, mais c'était le dernier. Maintenant on va pouvoir se reposer un peu.
- Tu parles! Tu sais parfaitement ce qui nous attend.
- Oui, je le sais. Mais calme toi. Je crois qu'il est temps de parler à Bill, c'est lui qui va le plus mal.
- Oui, il est dans sa loge.
- Go.

On s'y dirigea donc. Après avoir frappé plusieurs fois sans optenir de réponse, on décida de rentrer. Bill était là, assit dans un coin. La lumière était éteinte, et on n'osa pas l'allumer.

- Qui vous a dit d'entrer?
- Nous, dis-je. Bill, faut qu'on fasse quelque chose. Ce devient plus possible là!
- Sans dec! Et tu compte faire quoi Gus? tu sais très bien qu'on ne peut RIEN faire! L'équipe voudra jamais nous lâcher. Maintenant foutez moi la paix.
- Bill je...
- WOUHA!!!!! C'EST BILL KAULITZ!!!!!

Une foule de groupies entrèrent en masse. C'était la panique. Mais comment avent-elles réussit à entrer? Enfin bref, ce n'était pas le moment de se poser des questions! Elles avaient déjà encerclé notre ami et commençaient à lui arracher ses vêtements. Georg et moi intervinrent

- BARREZ-VOUS DE LA!!!! FOUTEZ-LUI LA PAIX!!!

On avait hurlé tellement fort qu'elles avaient toutes cessées de bouger. On en profita pour attraper Bill et le tirer hors de ce bordel. On referma la porte, coiçant ainsi toutes les groupies à l'intérieur. Je retenais la porte, mais plus pour longtemps.

- Georg! Va chercher Saki!
- tout de suite!

Ils revinrent peu de temps après, heureusement car je ne tenais plus. D'autres gardes du corps suivirent et jetèrent les hystériques à la porte. La plupart essayaient encore de voir Bill, mais tout ce qu'elles obtinrent furent nos yeux remplis de haine. Une fois le calme ramené, on alla dans ma loge.

- Bill?
- ...
- Gus, je crois qu'on a plus le choix
- Ouais, tu as raison
- Et vous allez faire quoi?
- En parler à ton frère, dit-on d'une même voix
- PAS QUESTION! Si Tom apprend ça, il va briser le groupe!
- Tu vois une autre solution?

Il resta sans voix et baissa le regard. Nous nous dirigeâmes, Georg et moi, vers la loge du guitariste.

Suite?

Han oui moi je veux une suite
Je veux savoir pourquoi ils sont comme ça oO'
Tarde pas trop xD
C'est super
Küss

Non, ne t'en fais pas je ne suis pas du genre à tarder, sauf si je suis vraiment coincée ou que je suis privée de pc ^^"

Han suiiiite!!!

Que se passe t il??

Lol

¤Chapitre 2¤

Je frappai à la porte de Tom.

- Ouai, cria-t-il à travers la porte
- Tom, répondis-je. Viens, c'est urgent!
- Ca peut pas attendre cinq minutes?
- NON! Grouille-toi!
- Ok, ok.

Il consentit à sortir. Il ne portait que son baggy, quoi que porter était un bien grand mot.

- Qu'est-ce que vous voulez?
- Ecoute, c'est au sujet de Bill...
- Qu'est-ce qu'il a Billou?
- Tu vas quand même pas nous dire que t'as pas remarqué qu'il allait mal, dit Georg
- Bah non! Comment ça il va mal?
- Viens, faut qu'on discute... en privé.
- Ok. Ma puce, on se retrouve à l'hotel.

On alla dans la seule loge encore disponible: celle de Georg. Et on s'installa au calme

- Bon alors, c'est quoi le problème?Qu'est-ce qu'il a Bill?
- Calme-toi...
- Comment tu veux que je me calme alors que j'apprends que mon frère va mal et que je m'en suis même pas rendu compte!
- Comment tu veux qu'on t'explique si tu cris sans arrêt, intervins-je. Laisse nous parler aussi!
- Ok, déso les gars. J'vous écoute.
- Bon, depuis un certain temps Bill va mal, et il n'est pas le seul...
- Nous aussi...
- On n'en peut plus de toute cette pression! On ne fait plus aucune pause! On est obligé de faire croire que tout va bien alors que c'est faux! Et les groupies deviennent de plus en plus terrifiantes! Tout à l'heure elles sont entrées de force et ont envahit la loge de ton frère!
- C'était ça les cris? Je voulait sortir mais Stéph' voulait pas me lâcher. Qu'est-ce qu'elles lui ont fait?
- Disons qu'il y a faillit avoir un viol collectif, dit Georg. Mais on est intervenu et Saki les a virées.

Au fur et à mesure de notre récit, son visage blanchissait. Il se rendait compte à quel point la situation était grave, et il devait aussi se sentir coupable de ne pas être intervenu plus tôt.

- Ou est mon frère?
- Dans ma loge mais...
- Ok!

Il se leva et partit d'un pas rapide. On le suivit. Il ouvrit la porte de ma loge et courut vers son frère, recroquevillé dans un coin. Bill avait encore une fois éteint la lumière. On resta à l'eccart, sans intervenir

- Bill, mais pourquoi tu m'en as pas parlé plus tôt?
- ...
- Bill! Réponds-moi je t'en pris!
- ...

J'entendais au son de la voix de Tom qui refoulait ses larmes, et la très faible luminosité me permit de voir qu'il prenait son frère dans ses bras.

- Bill...
- Je suis désolé Tom.
- Mais pourquoi tu n'es pas venu me parler?
- Parce que... Parce que la musique c'est toute ta vie... Que tu adorais ça, alors... Alors je voulais pas... Gâcher ton rêve...
- ...

Tom était sous le choc. Je pense qu'il n'aurait espéré un jour recevoir une telle preuve d'amour de la part de son frère. C'était quelque chose de triste et de magnifique à la fois.

- Maintenant je suis là Bill. Ne t'en fais pas. Tout va s'arranger.
- Ah ouai? Et comment ça?
- On va arrêter. Tout! Là! Maintenant! tout de suite!
- Non Tom! Tu peux pas faire ça!
- Rappelle-toi ce que j'avais dit dans cette interview: "Je serais prêt à sacrifier le groupe pour mon frère" et c'est ce que je vais faire. Vous êtes d'accord les gars?
- Oui, Tom, je suis avec toi, dis-je
- Et moi aussi, für Immer!
- Dans ce cas tout le monde est d'accord!

HAAAAAAAAAAAAAAAAN!!!!

SUIITE!!

J'aiime troop ta fiic!!

C'est n'émouvant!!

Wouha! Ca me fait trop plaisir ce que tu dis ^^

moi aussi j'veux la suiiiite =]

c'trop bien !!

x3'

Mein gott c'trop bien la vache
C'est trop beau
J'en ai presque les larmes aux yeux
Me tarde la suite =)
Küss

La suite cette aprem, parce que là j'ai pas le temps de la poster ^^

Okay =)
Me tarde cette aprem alors
=DDDDD

Et voilà la suite, en espérant que ça vous plaise toujours autant ^^

Chapitre 3

On tenta d’élaborer un plan pour sortir de là le plus discrètement possible. Deux solutions se proposaient : soit on attendait qu’il n’y ai plus personne ici, mais on retrouvait l’hystérie au pied de l’hôtel, soit on partait tout de suite, en transperçant la foule et en espérant gagner la tranquillité par la suite. La deuxième option fut choisie à l’unanimité. Tous les gardes du corps se rassemblèrent et nous encerclèrent. Nous étions coupés du monde. Lorsque l’accès cers l’extérieur fut ouvert, les hurlements envahirent nos tympans, mais à force nous avions l’habitude. Nous ne voyions rien de ce qu’il se passait, mais nous le devinions par les nombreuses bousculades et les cris de mécontentements tels que :

- Rendez-nous les TH !!
- On vous veut Tokio Hotel !!

Et j’en passe.

Nous arrivâmes entiers au van, la nouvelle difficulté étant de monter dedans. Les deux agents qui se trouvaient devant nous passèrent sur les côtés pour nous libérer le passage. Mais pendant la manœuvre, une jeune fille réussit à passer. Je regardais Bill. Il s’était tout à coup crispé et tremblait terriblement. Sans doute était-il livide. Je ne pouvais pas le savoir

- Bill ! Je t’aime ! Epouse-moi !!
- Arrière !

Je criai ses paroles en me plaçant devant mon ami. Tom avait eu la même idée. Les gardes intervinrent et la rejetèrent dans la foule. Nous en profitions pour gagner rapidement l’intérieur du van. Une fois la portière fermée et verrouillée, on pu se détendre. Le véhicule démarra, mais les groupies se jetèrent dessus de sorte que bientôt, nous ne pouvions plus avancer. On eut alors droit à toutes sortes d’insultes de la part du public qui nous remerciait, plus tôt, d’avoir joué pour lui ce soir. J’en étais plus que dégoutté. Jamais je n’aurais pu imaginer que les choses prendraient une telle tournure.

Je décidai de rompre le pesant silence qui régnait entre nous :

- Et maintenant ?
- Maintenant, poursuivit Tom, on rentre à l’hôtel et on pionce ouais ! On a été assez secoués pour ce soir j’crois
- Je sais pas si on pourra dormir ce soir, enchaîna Georg. Si c’est comme la dernière fois, à Berlin, on est mal barré.

Je vais vous expliquer ce qu’il s’était passé cette nuit là. Nous venions de rentrer du grand concert de Berlin et avions rejoint nos chambres, au troisième étage de l’hôtel, pensant avoir enfin droit à un sommeil réparateur. Grave erreur. Les fans en voulaient encore et nous le firent clairement comprendre en hurlant toute la nuit sous nos fenêtres. La police n’arriva à les calmer qu’à trois heures du matin. Une vraie misère.

Je regardai par la vitre teintée et reconnus l’endroit.

Oh, non…

Mais qu'à donc vu Gusti pour emettre ce "Oh non..."???

tu sais que j'adore ma pro alors la suite car c genial!!!

Merci ma Grande, mais je ne pense pas pouvoir la poster aujourd'hui ^^

yeaaaah moi aussi veut la suiiite =D

Han sa pete!!
Suite!!

Chapitre 4

Toute la rue était bouchée sur environs deux cents mètres. C’était le chaos total, et malgré l’isolation sonore du véhicule, j’entendis :

- C’EST LE VAN DES TH !!!

On y était même pas encore, et pourtant on s’était déjà fait repérer. Je repris mes esprits et dis au conducteur :

Demi-tour ! Vite sinon on va être encerclé !

Et il le fit, juste à temps. Je retournais mon intention vers mes amis. Bill était recroquevillé, le visage entre les mains.

- Bill, qu’est-ce qu’il y a, lui demanda son frère.
- J’en peux plus… Je veux plus… Tout ça… C’est horrible…

Sa voix était étranglée, il sanglotait. Tom essayait de la calmer.

- Ne t’en fais pas, on va retourner à une vie calme.
- Tu parles… Je n’y crois plus… C’est trop tard.
- Non Bill ! Il n’est pas trop tard ! Ca va s’arranger, tu verras !

Mon téléphone les interrompit. Je décrochai

- Halo ? David ?
- Ah ! Gustav ! Enfin quelqu’un qui répond, c’est pas trop tôt ! Je viens de voir le van faire demi tour. Qu’est-ce qui se passe ?

Sa voix était pleine de colère. Je décidai de rester calme, comme d’habitude.

- La question ne se pose pas. Toi qui est à l’hôtel, tu dois voir le chaos qu’il y a dans la rue !
- Et alors ? C’est pas une raison ça ! Vous allez rentrer et TOUT DE SUITE !!!

Il avait raccroché avant que je ne puisse répliquer. Son cri avait été si fort que même le conducteur l’avait entendu. Il fit demi tour, encore une fois. L’hôtel fut bientôt de nouveau en vue.

- Va falloir que tu sois fort Bill…

Des agents de sécurité vinrent nous ouvrir et escortèrent tant bien que mal jusque dans l’hôtel. Une fois ‘libérés’, Bill prit sa clé et monta directement dans sa chambre, bousculant David au passage. Celui-ci nous tomba dessus :

- C’est quoi le problème ? Je commence à en avoir assez !
- Et nous aussi, répondit Tom sous l’effet de la colère. On en a marre ! On en peut plus !
- On est à bout David, continua Georg. On voudrait faire une pause. Ce serait plus que mérité là !
- Pas le temps les gars. Demain matin vous avez une interview pour ‘Bravo’, et l’après-midi, c’est séance dédicace. Alors vous arrêtez de faire les idiots et vous allez dans vos chambres ! Je veux que vous soyez en forme demain !
« Tu parles qu’on va être en forme » Pensai-je.

J’étais plus qu’énervé. Dans ma tête prenait forme un plan pour pouvoir tout arrêter, les autres me suivraient, sans aucun doute. Maintenant c’était terminé le gentil batteur calme et discret !

Je crois que vous n'allez pas reconnaitre notre Gusti ^^

hiiii !! c'est génial !! vraiment bien écrit ! bravo !!

La suite ?? n____n

Merci ^^

Han désolé pour le retarde
Mais ça claque
C'trop bien
J'ai hâte de lire la suite =D

Voilà la suite ^^
Par contre, vue que le rentrée pour moi c'est demain, je posterai beaucoup moins souvent, j'en suis désolée

Chapitre 5

Bill avait refusé de nous ouvrir. Seul Tom pu entrer. Je sentais que ça allait vraiment mal, et je ne voulais pas que ça perturbe notre amitié. Encore une fois, Georg et moi essayions de trouver une solution :

- Ca n’est plus possible, répétait-il encore une fois. Je vais finir par devenir dingue !
- Calme toi vieux…
- Comment tu veux que je me calme ? Bill ne mange plus, David nous met de plus en plus la pression et qui sait ce que Tom a dans la tête !

Il ne pouvait s’empêcher de faire les cent pas et d’accompagner ses paroles de grands gestes en disant cela. Quoi que c’était bien compréhensible.

- Et comment tu fais toi pour rester aussi calme ?
- Je… Je n’en sais rien.

Le reste de notre discussion porta sur ce que j’avais envisagé pour le lendemain.
On se retrouva tous dans le restaurant de l’hôtel pour le petit déjeuner. Comme à son habitude depuis quelques temps, Bill ne toucha à rien.

- Bill, tu devrais prendre quelque chose, l’encourageai-je
- Non, merci Je n’ai pas faim.

J’aurais essayé
David vint à notre rencontre

- Vous êtes prêts les gars ? Parce qu’on part dans une demie heure
- Désolé David, dis-je, mais on ne va nulle part aujourd’hui.
- Vraiment ? Et pourquoi ça ?
- On arrête, poursuivit Tom
- On en a assez, renchérit Georg. Raz le bol de toute cette pression ! De ne jamais avoir notre mot à dire ! C’est finit ! Complètement !
- Qui vous a mit des idées pareilles dans le crâne ?
- NOUS, criions nous en cœur à l’exception de Bill
- Vous allez arrêter vos conneries maintenant, hurla David

Toutes les personnes ici présentes se retournèrent. C’est que, quand David était énervé, il ne faisait pas semblant. L’attention générale était sur nous, j’allais en profiter. Je me levai, et fixai David dans les yeux et lui dit sur un ton de tueur :

- On a dit que c’était terminé. Alors maintenant tu vas nous foutre la paix et te casser. On va retourner dans nos chambres, prendre nos affaires et retourner chez nous. Et ce que ça te plaise ou non. J’me suis bien fait comprendre ?
- N’essaye pas de jouer les durs avec moi Gustav sinon…
- Sinon quoi ? Tu crois sérieusement que tu me fais peur ?

Georg se leva à son tour, avec le même regard que moi. C’est qu’hier, on avait tout prévu.

- Maintenant David, fou nous la paix !
- On se casse aujourd’hui. Maintenant même. Alors salut mon gars !
- Bill, Tom, on y va !
- Ok !

Sur ce, on sortit du restaurant, sous les regards hébétés de David et de la populace. C’est qu’on n’avait pas l’habitude de nous voir nous rebeller. On regagna chacun sa chambre, avec pour mission de boucler nos valises le plus rapidement possible. Je m’occupais des miennes lorsque quelqu’un frappa à la porte. Je l’invitai à entrer. C’était David.

- Qu’est-ce que tu veux, lui demandai-je sans lever le regard
- Comprendre, et toi seul as daigné m’ouvrir. Alors explique moi s’il te plait !
- Ce n’est pourtant pas compliqué. On se fait agresser par des groupies enragées en chaleur et on travaille non-stop. En plus, je sais très bien que la production et toi vous faites des bénéfices sur notre dos. Alors maintenant, on dit stop. T’avais qu’à nous écouter avant.
- Mais non…
- La discussion est terminée.

Sans ajouter un mot, il sortit. Ca m’arrangea. Au moins je n’avais pas eu besoin d’utiliser la force. Je terminais ma valise, vérifiai que je n’avais rien oublié quand Georg vint me chercher.

- On part. T’es prêt ?
- Oh… Heu… Ouais. J’arrive tout de suite.
- Ok.

Je les rejoignis et montai dans la voiture. Vu que personne n’avait été au courant, on pu partir sans encombre. C’était David qui allait se farcir l’interview. Au moins il comprendrait ce qu’on ressent quand les journalistes vous harcèlent et ne vous lâchent pas pour avoir leur réponse. Et des réponses, il faudra qu’il en trouve, pas facile.

Pendant la route, j’étais mélancolique. Quitter le monde de la musique comme ça me serrait l’estomac. Je voyais mon rêve s’envoler loin de moi, ne sachant si je le rattraperai un jour. J’aimais monter sur scène, donner tout ce que j’avais sur ma batterie…

- Qu’est-ce qu’il t’arrive vieux ?

c'est trop bien x3'

J'aime trop bravo !!

la chouiiiite ?

Han! Mais elle est plus que bian ta fiiic!!

Serieux, tu te gaves!!

Meurcii!

Suiite =)?

Je me gave oO??
Comment ça??
(J'ai pas compris ^^'')

Les expréssions du Sud!

Mdr

Biin sa veux dire que c'est trop fort!

Mdr!

Que tu gères!